La famille j’y crois !

Nous contacter Adhérer en ligne

Accueil > Communiqués > Feuille de route du Gouvernement : les familles veulent être entendues

Feuille de route du Gouvernement : les familles veulent être entendues

mercredi 4 juillet 2012[, ]

Le Premier ministre a prononcé hier sa déclaration de politique générale à l’Assemblée nationale et obtenu, sans surprise, la confiance d’une majorité de députés. Il y a confirmé un certain nombre d’engagements pris par le Président de la République lors de la campagne électorale.

Pour l’Association Familiale Catholique de Sens et sa région, au-delà de la feuille de route ainsi présentée, c’est bien les contours de la société française qui se dessinent pour les prochaines années. Éducation, définitions du mariage, de la filiation, solidarité entre les générations et entre les Français, jeunesse, justice… toutes les réformes annoncées concernent les familles et leur place dans la société.

Le Premier ministre a insisté pour dire que la concertation était " une des clés du changement ". Pour l’AFC de Sens et sa région, la portée et la gravité de certaines des réformes envisagées, à commencer par celles concernant le droit de la famille, appellent une réelle écoute de la société civile. Elles sont mobilisées, en tant que corps intermédiaire, pour contribuer à cette concertation dont elles souhaitent vivement qu’elle ne soit pas seulement formelle. La famille, cellule de base de la société, doit être entendue lorsque les évolutions annoncées l’impactent directement.

Sur chacun des chantiers ouverts les AFC se mobiliseront, notamment auprès des parlementaires et du gouvernement, pour faire des propositions pour :
 promouvoir la famille durable fondée sur le mariage, union d’un homme et d’une femme
 favoriser une vraie écologie de l’homme fondée sur des valeurs humaines permanentes
 renforcer le rôle des pères et mères dans leurs responsabilités éducatives
 contribuer dans la justice à lever les freins qui pèsent sur la vie de famille et l’accueil de la vie.

La famille est le premier lieu d’humanisation et d’apprentissage de l’altérité, fondement des relations sociales. Elle doit être valorisée comme telle, pour le bien de chacun de ses membres et de la société tout entière.